Hello, la compagnie ! Comme vous avez eu l’air d’apprécier le premier article sur Dour, je me suis dit que j’allais continuer sur ma lancée. Tant qu’à faire, hein ! Du coup, nous voilà pour un jour nouveau. Le deuxième, sous une chaleur éreintante. Vous allez le voir, à partir de ce jour, on a juste chaud et on est juste nus h24.
Hi, guys! I can see you’ve enjoyed my first article on Dour, so I figured I might just keep going on with the articles on the festival! So, here we are: day two. A second day spent under an excruciating heat. You’ll see, from this day on, we start being naked all the time.
Aussi, je me suis dit que c’était le bon moment pour vous parler d’un aspect qu’on oublie un peu quand on découvre un festival : les courses. Parce que : oui, c’est un enfer ! Cette année, il faut déjà marcher tout le long du festival pour retrouver le parking où la navette récupère et ramène les centaines de festivaliers aussi euphoriques les uns les autres. Rendez-vous au Colruyt du coin, à faire la queue pour rentrer, la queue dans les rayons, la queue partout. C’est le Disneyland de la Belgique à c’t’heure.
And I also thought it might be a good idea to deal with a part of festival we tend to forget: grocery shopping. And let’s just say it’s hellish! This year, we had to walk for a good 25 minutes all across the festival to go back to the parking to get the shuttle that takes the festival-goers around town. And it’s quite a moment… As we arrive at the Colruyt shop, we understand we’re here for a long time. We queued for so long, it felt like we were at Disneyland at some point.
Bref, on galère et on finit par acheter mille fois trop de bouffe. Et puis on repart. On s’étale au camping et on chille jusqu’au début des festivités. C’est parti !
Anyway, we struggled and we ended up buying way too much food. And then, off we go. Back to the camping. We just chilled and waited for the festival to start again. And now is the time. Let’s go!