Très heureuse de commencer la série des archives avec celle-ci. Pourquoi ? Déjà parce que je me souviens l’avoir intitulé quelque chose comme “lilac”, une couleur que j’aime toujours autant (j’ai toujours ce haut d’ailleurs) et puis, ensuite, car elle me rappelle à l’époque où ce cher Bazin avait accepté de me photographier très souvent. On rigolait bien avec ma maladresse et on s’amusait bien à tester des trucs parfois. C’était chouette. D’ailleurs, Hugo, si tu prends le temps de lire ces lignes : je te remercie grandement pour tout. Je te remercie du temps que tu m’as accordé, de ta patience et de ta bienveillance. Je te dois beaucoup. C’est grâce à toi que j’ai commencé à me libérer devant l’objectif, à comprendre que je voulais poser, encore et encore. Mille mercis (et on se voit bientôt pour boire du champagne Bazin, hein).